Flashback: en août dernier, Charline (ITWIA) nous appâte avec une promo Icelandair imbattable. Depuis le temps qu'on en parle, on n'hésite pas une seconde.
A l'époque, février nous semble être dans une autre vie et puis finalement, on y est.
Départ Roissy, tout le monde est presque à l'heure. Bonne surprise dans l'avion, on a droit à des écrans perso et des films. Mauvaise surprise: softs à part, tout est payant.
Bon gars organisé, j'y avais pensé et on a mangé un truc avant de partir.
La descente sur Keflavik est assez magique, le ciel est bien dégagé, vu du ciel, on voit depuis un petit moment la côte, les volcans enneigés juste derrière, les îles Vestmann, bref, on est bien excités.
On est récupérés à l'aéroport par les gars de l'agence Procar, très sympa, on récupère notre 4x4 Nissan automatique et c'est parti, direction Reykjavik.
L'hôtel n'est pas hyper glam mais il est facilement accessible, pas trop loin du centre (même pas 5 min en voiture), les chambres sont minuscules mais allez, ça passe, on s'en fout, on est venu pour y rester le moins de temps possible.
Le temps de déposer les affaires, on redécolle, on a rendez-vous avec Michael (International Photographer), notre pote photographe, auteur d'une carte de l'Islande qui nous sera bien utile. Il réceptionne demain un premier groupe de voyageurs qu'il accompagnera dans le nord, vers le lac Myvatn.
Pour ce soir, on s'est équipé à bloc, le ciel est sans un nuage, on nous a prédit une bonne chance d'aurores boréales.
On mange très tôt près du port dans un excellent resto de brochettes de poisson, qui propose également du steak de baleine, dont la viande d'un rouge violacé très vif nous laisse assez songeurs.
Direction ensuite le Kleifarvatn, où Michael a ses petites habitudes pour ces soirées.
Situé à une vingtaine de km de Reykjavik, au milieu d'un paysage désolé entouré de collines rocailleuses, il a son charme dans le genre sauvage aux eaux translucides mais gelées. Ca y est, on se sent vraiment en Islande, on est surexcité. On y est presque seuls, il paraît que plus tard dans la saison, c'est assez fréquenté de nuit. Là, on aura bien quelques compagnons temporaires mais aucun ne restera bien longtemps.
Il fait pas chaud chaud, mais cette soirée est au moins sans vent (ce sera bien la seule), donc on gèle doucement.
On fait des photos dans tous les sens, depuis un promontoire, puis depuis la plage au sable noir. Nuit de quasi pleine lune, les poses longues donnent un résultat surprenant, comme si prises en plein jour.
La soirée serait parfaite si les aurores daignaient se montrer mais non, rien, zéro.
On reste un peu sur notre faim, on plie les gaules vers 1h, bien rincés.
A l'époque, février nous semble être dans une autre vie et puis finalement, on y est.
Départ Roissy, tout le monde est presque à l'heure. Bonne surprise dans l'avion, on a droit à des écrans perso et des films. Mauvaise surprise: softs à part, tout est payant.
Bon gars organisé, j'y avais pensé et on a mangé un truc avant de partir.
La descente sur Keflavik est assez magique, le ciel est bien dégagé, vu du ciel, on voit depuis un petit moment la côte, les volcans enneigés juste derrière, les îles Vestmann, bref, on est bien excités.
On est récupérés à l'aéroport par les gars de l'agence Procar, très sympa, on récupère notre 4x4 Nissan automatique et c'est parti, direction Reykjavik.
L'hôtel n'est pas hyper glam mais il est facilement accessible, pas trop loin du centre (même pas 5 min en voiture), les chambres sont minuscules mais allez, ça passe, on s'en fout, on est venu pour y rester le moins de temps possible.
Le temps de déposer les affaires, on redécolle, on a rendez-vous avec Michael (International Photographer), notre pote photographe, auteur d'une carte de l'Islande qui nous sera bien utile. Il réceptionne demain un premier groupe de voyageurs qu'il accompagnera dans le nord, vers le lac Myvatn.
Pour ce soir, on s'est équipé à bloc, le ciel est sans un nuage, on nous a prédit une bonne chance d'aurores boréales.
On mange très tôt près du port dans un excellent resto de brochettes de poisson, qui propose également du steak de baleine, dont la viande d'un rouge violacé très vif nous laisse assez songeurs.
Direction ensuite le Kleifarvatn, où Michael a ses petites habitudes pour ces soirées.
Situé à une vingtaine de km de Reykjavik, au milieu d'un paysage désolé entouré de collines rocailleuses, il a son charme dans le genre sauvage aux eaux translucides mais gelées. Ca y est, on se sent vraiment en Islande, on est surexcité. On y est presque seuls, il paraît que plus tard dans la saison, c'est assez fréquenté de nuit. Là, on aura bien quelques compagnons temporaires mais aucun ne restera bien longtemps.
Il fait pas chaud chaud, mais cette soirée est au moins sans vent (ce sera bien la seule), donc on gèle doucement.
On fait des photos dans tous les sens, depuis un promontoire, puis depuis la plage au sable noir. Nuit de quasi pleine lune, les poses longues donnent un résultat surprenant, comme si prises en plein jour.
La soirée serait parfaite si les aurores daignaient se montrer mais non, rien, zéro.
On reste un peu sur notre faim, on plie les gaules vers 1h, bien rincés.
Vue depuis notre chambre d'hôtel
Port de Reykjavik
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