Un drôle de labyrinthe electronique, un ovni complet, aux inquiétantes infrabasses, aux nappes synthétiques bizarres, qui tente de la jouer innocemment dansant dans un premier temps, avec une rythmique et un piano house rassurants. Mais la rupture de rythme dévoile un chant psychopathe, et ce Love Me Girl sent plus la menace que l'invite romantique.
Je ne suis pas un énorme fan de Yeasayer, mais là, rien à dire, chanson (?) de la semaine à l'aise.
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